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Clôture des projets sous financement: IKI Small Grants Vers la capitalisation et la vulgarisation des acquis

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Le Fonds national pour l’environnement et le climat (Fnec) a convié jeudi, 28 novembre 2024, les différents acteurs et bénéficiaires des projets sous financement IKI Small Grants à un atelier de capitalisation et de vulgarisation des acquis desdits projets. Le présent atelier, qui s’est déroulé à Bénin Royal Hôtel de Cotonou, se veut une occasion d’évaluer les différents projets et surtout de tirer leçon des progrès réalisés…

Après la revue annuelle des projets sous financement IKI Small Grants, les parties prenantes se préoccupent de la capitalisation et de la vulgarisation des acquis. Des projets financés par le Ministère Fédéral Allemand de l’Environnement, de la Conservation de la Nature et de la Sûreté Nucléaire, et mis en œuvre par la GIZ. Venus de plusieurs départements du Bénin notamment les localités impactées par lesdits projets, les participants ont mené des réflexions en vue d’une harmonisation des connaissances et expériences quant à l’approche de capitalisation et de vulgarisation des acquis. Dans son intervention, le coordonnateur régional du Programme Paco (Priorités régionales et nationales d’adaptation en Afrique de l’Ouest et centrale), Jean-Paul Affana s’est réjoui de la clôture avec succès des différents projets avec à la clé, des résultats concrets susceptibles d’impacter la vie des communautés cibles. A l’en croire, les différents acteurs ont fait preuve d’innovation, d’engagement et de motivation. Et de préciser que lesdites initiatives locales visent la protection de l’environnement grâce à une approche à fort impact communautaire. Outre le renforcement des capacités des parties prenantes, l’accent a été également sur la pérennisation des acquis. Le Fnec a démontré sa capacité à relever des défis importants, a-t-il reconnu avant de réitérer l’engagement de l’Allemagne à poursuivre son appui dans un contexte où la résilience des communautés face aux effets des changements climatiques devient une urgence. Il a, par ailleurs, évoqué la nécessité de développer des compétences de résilience et d’adaptation au changement climatique. Quant au Directeur général du Fonds national pour l’environnement et le climat (Fnec), Apollinaire Gnanvi, il s’est acquitté d’un devoir de reconnaissance à l’endroit des partenaires notamment la Giz avant de reconnaitre qu’à travers le projet “Développement des capacités institutionnelles sur le climat et la biodiversité“, des actions sont menées en vue de l’atteinte des Objectifs du développement durable et du Programme d’actions du gouvernement. Il a également reconnu sa contribution à la réalisation des objectifs liés à la biodiversité au Bénin. Selon ses dires, lesdites initiatives ont permis le renforcement des capacités du Fnec quant à la mobilisation des ressources vertes, le financement de l’action climatique étant une préoccupation majeure. Il a, par ailleurs, témoigné sa gratitude à toutes les parties prenantes pour la mise en œuvre des projets dans les délais contractuels. Il importe désormais de s’inscrire dans une dynamique de pérennisation des acquis en vue de maximiser l’impact notamment dans la durée, a-t-il laissé entendre.

A.B

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