Le top du festival de danse contemporaine connexion est donné lundi 1er décembre 2025. Au programme plusieurs pièces de danses variée à montrer au public. Selon Marcel Gbèfa, le promoteur, cette édition sera toute particulière, puisqu’ elle mettra au coeur des activités programme le 2.0, c’est à dire le numérique ainsi que l’éducation autour de la danse. <<Pour cette édition on a voulu faire un clin d’œil aux pièces qui travaillent avec la technologie a l’ère de l’intelligence artificielle. Alors, il faut noter qu’il y a peu de création qui vont dans ce sens.
Mais nous on motive les gens à créer en trouvant un lien entre la tradition et la technologie. D’où on a initié pour cette édition des résidences de création quand bien même on s’est rendu à l’évidence que l’acquisition de l’outil numérique n’est pas facile. Et donc il y aura des formations sur l’utilisation de la technopole dans le processus de la création de la danse. Il y aura des projections de films>> précise Marcel Gbèfa pour rappeler les principales activités inscrites au titre de la programmation de l’édition 2025. Prévu pour durer jusqu’au 14 décembre ce festival, selon son promoteur, est véritable tremplin de rassemblement pour les professionnels de la danse et de la chorégraphie qui viennent de tous les horizons. Pendant quelques jours le Bénin et plus précisément Cotonou servira de carrefour pour la danse contemporaine dans toute sa dimension et variétés. Au total 12 pays sont représentés. Entre autres on peut citer : la France, la Guadeloupe, la Martinique, les États Unis, le Kenya, le Nigeria, le Togo, le Cameroun, le Congo, le Burkina Faso et bien entendu le Bénin. Le festival connexion est un temps de dialogue entre les danseurs amateur professionnel et ceux qui sont avancés.
Teddy GANDIGBE
