Dans un contexte politique marqué par l’interrogation sur l’avenir et la continuité des réformes, une voix forte s’est récemment exprimée ; celle de Dah Milonon Glèlè 2, héritier d’une lignée historique. A travers une prise de position claire, il apporte son soutien à Romuald Wadagni, ministre de l’Economie et des Finances, estimant qu’il incarne la relève nécessaire pour maintenir l’élan engagé sous le leadership du président Patrice Talon.

Le Bénin ne se situe pas à un simple carrefour : il se trouve au seuil d’une étape décisive, dira Dah Milonon Glèlè 2. Les avancées économiques enregistrées ces dernières années, la modernisation des infrastructures, les réformes administratives et l’attractivité accrue auprès des investisseurs ont fait émerger de nouvelles exigences. « La continuité, lorsqu’elle est synonyme d’efficacité, devient une responsabilité collective », affirme-t-il. L’héritier du royaume de Danxomè, porteur d’un héritage qui symbolise l’autorité et la pérennité de l’Etat, ne parle ni en militant ni en tacticien politique. Sa prise de parole se veut au-dessus des contingences partisanes. Il évoque une vision, celle d’un pays qui ne doit pas interrompre son élan. Selon lui, les progrès doivent s’inscrire dans un projet durable, assuré par une transition réfléchie. La figure qu’il désigne pour poursuivre cet effort est celle de Romuald Wadagni, qualifié d’« homme capable », maîtrisant les enjeux économiques contemporains et les exigences de la gouvernance moderne. Pour Dah Milonon Glèlè 2, la force de ce potentiel réside dans un binôme : l’expérience de Patrice Talon et la dynamique de Romuald Wadagni. Ce duo représente, selon ses mots, « une synergie parfaite ». A l’un, l’intuition politique et la vision globale ; à l’autre, la technicité, la rigueur et l’innovation. Le ministre des Finances a en effet marqué les esprits par sa capacité à conduire des réformes complexes, à renforcer la crédibilité financière du Bénin et à attirer des capitaux dans un contexte économique mondial instable.

Plus qu’un soutien personnel, Dah Milonon Glèlè 2 défend un principe structurant, notamment la nécessité de confier des responsabilités majeures à la jeunesse. Pour lui, le renouveau du leadership passe par une génération capable d’appréhender les défis modernes, numérique, environnement, compétitivité internationale. « Il faut transmettre les clés du gouvernail », affirme-t-il, rappelant que compétence et sens de l’État ne sont pas un monopole de l’âge. Loin d’un discours triomphaliste, sa déclaration sonne comme un appel à poursuivre une transformation entamée : ne pas « arrêter la dynamique » mais l’amplifier. Elle marque la rencontre entre une légitimité traditionnelle et une gouvernance orientée vers le résultat. A travers ce soutien, Dah Milonon Glèlè 2 écrit une page où héritage, modernité et ambition se rejoignent.

M.M.

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