L’Agence Nationale des Transports Terrestres (ANaTT) connaît une transformation profonde. Portée par une série de réformes ambitieuses, l’institution engage une lutte sans relâche contre la fraude dans le processus d’obtention du permis de conduire. Usagers ou agents en service à l’ANaTT, inutile de chercher des moyens détournés pour frauder. Quiconque essaie sera pris.
Grâce à la digitalisation de ses services, fer de lance de cette mutation, l’ANaTT marque une rupture nette avec les pratiques d’un passé révolu. Avec cette modernisation, les procédures sont désormais plus transparentes, traçables et sécurisées, réduisant considérablement les risques de fraude.
Même si la perfection reste un idéal, force est de constater que les efforts engagés portent leurs fruits. Le permis de conduire béninois, aujourd’hui délivré selon des standards internationaux, gagne en crédibilité et jouit d’une reconnaissance grandissante sur le plan international. Aucune tentative de fraude ne peut passer inaperçue dans le nouveau système de gestion du permis de conduire.
À l’ANaTT, l’heure est à la rigueur. Les fraudeurs, qu’ils soient agents ou usagers, sont désormais dans le viseur, et tout est mis en œuvre pour les identifier et les sanctionner sans complaisance. Le message est clair : le secteur du transport ne saurait plus être un terrain fertile pour les pratiques frauduleuses. Il vaut mieux y renoncer et se mettre dans la nouvelle dynamique instaurée par les nouvelles autorités de l’ANaTT car qui tente de frauder pour obtenir ou délivrer un permis de conduire tombera forcément dans la nasse.
Avec le système de contrôle mis en place par l’ANaTT, c’est la voie à une administration moderne, efficiente et résolument tournée vers l’excellence.
Christophe Agon