Il y a, dans le regard d’une mère, une lumière que rien ne peut éteindre.
Une force silencieuse, un amour sans condition, une résilience que même les tempêtes de la vie ne peuvent plier. Être mère, ce n’est pas seulement donner la vie — c’est la porter, la sculpter, l’élever. C’est aimer jusqu’à l’oubli de soi, veiller dans le silence, bâtir dans l’ombre.
Aujourd’hui, plus que célébrer une fête, nous saluons un pilier.
De nos villages à nos capitales, dans l’agitation du quotidien ou le calme des sacrifices discrets, les mères africaines tiennent debout les familles, les entreprises, les écoles, les rêves.
Elles sont la première école, le premier refuge, le premier élan.
À toutes les mères — celles qui portent, celles qui élèvent, celles qui soignent, celles qui guident :
Merci d’être ce cœur battant de nos sociétés.
Et à celles qui, en plus d’être mères, se lèvent pour entreprendre, éduquer, créer, militer ou bâtir :
Vous êtes la preuve vivante qu’il n’y a pas de limite à la grandeur quand le cœur est engagé.
Je tiens également à saluer, avec une profonde gratitude, toutes ces femmes — d’Afrique, de la diaspora, du monde entier — qui, jour après jour, épousent la vision d’ADECO et s’y investissent avec passion, abnégation et bravoure.
À vous, artisanes du changement, qui semez l’excellence et l’espoir dans chaque communauté, je vous rend un hommage particulier.
Et si, pour la première fois depuis cinq ans, notre célébration de la Journée des Femmes Leaders Africaines ne coïncide pas avec ce jour, notre reconnaissance, elle, reste infiniment fidèle à cette date et à tout ce qu’elle incarne.
“Elle est revêtue de force et de dignité, et elle se rit de l’avenir.”
— Proverbes 31:25
Bonne fête à toutes les mères.
Bonne fête aux reines du quotidien.
Dr Brice HONDI.
