Home Bénin Percée éducative (2e partie): L’ancrage technologique décisif

Percée éducative (2e partie): L’ancrage technologique décisif

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Sous la doctrine du greffage (améliorer et développer l’existant) avec la stratégie du développement durable, le principe fondamental de défense des intérêts du pays, soutenu par des dynamiques et des plateformes solides en est le point d’ancrage. Alors qu’avec la tactique du Capsocalisme, (synthèse des principes positifs du capitalisme et du socialisme) basée sur les opérations de maximisation du développement, c’est le principe:  »L’alliance de grâce » qui prévaut en incluant la partition, la mise à échelle et le contrat social dans   »la capacitation (La grâce d’agir) » et  » la Justification (Ne laisser personne pour compte) ». Cette alliance reflète un engagement envers l’équité et la justice sociale. Ces approches multidimensionnelles sont conçues pour révéler, amplifier et diriger le potentiel latent afin d’en faire un véritable moteur de progrès.

Quand nous examinons les efforts déployés par les différents gouvernements depuis l’accession à l’indépendance, il est évident que le tronc commun des vingt-quatre lycées techniques au Bénin demeure un pilier fondamental pour la formation technique et professionnelle. Ces établissements jouent un rôle stratégique en outillant les jeunes avec des compétences adaptées aux besoins actuels et futurs du marché du travail. Leur contribution est essentielle pour renforcer la main-d’œuvre qualifiée et soutenir les secteurs clés de l’économie béninoise.

Au Bénin, il y a plusieurs lycées. Voici la liste

Lycées techniques principaux :

1.Lycée Technique Félicien Mamadou Coulibaly (Cotonou) – Enseignement technique et professionnel.

2.Lycée Technique d’Amitié Sino-Béninoise (Akassato) – Spécialisé en informatique, électrotechnique, génie civil, mécanique auto, et autres.

3.Lycée Agricole Mèdji (Sékou) – Formation agricole et auto-emploi avec des activités pratiques.

4.Lycée Technique de Porto-Novo – Formation variée adaptée aux besoins locaux.

5.Lycée Technique de Parakou – Infrastructures modernes pour divers enseignements techniques.

6.Lycée Technique de Natitingou – Répond aux besoins éducatifs techniques de la région de l’Atacora.

7.Lycée Technique et Professionnel de Bohicon – Formation technique pour la région du Zou.

8.Lycée Technique et Professionnel de Djougou – Propose des formations spécifiques aux réalités locales (Donga).

  1. Lycée Technique et Professionnel de Kandi – Localisé dans l’Alibori pour répondre aux besoins du nord-est.

10.Lycée Technique et Professionnel de Ouidah – Offres diversifiées pour l’Atlantique.

Autres lycées techniques et professionnels :

11.Lycée Technique de Pobè

12.Lycée Technique de Lokossa

13.Lycée Technique de Djakotomè

14.Lycée Technique de Tchaorou

15.Lycée Technique de Bopa – Enseignement familial et social.

Lycées régionaux supplémentaires :

16.Lycée Technique de Bariénou-Djougou

17.Lycée Technique de Kpataba-Savalou

18.Lycée Technique d’Adja-Ouèrè

19.Lycée Technique d’Akodeha

20.Lycée Technique d’Adjahonmè

21.Lycée Technique de Banikoara

22.Lycée Technique de Sékou

23.Lycée Technique de Ina

24.Lycée Technique de Kika

Il existe quelques universités y compris celles qui se spécialisent dans des domaines particuliers:

1.Université d’Abomey-Calavi (UAC) : La plus grande université publique du pays, offrant des programmes dans divers domaines tels que les sciences, le droit, les lettres, Etc.

2.Université de Parakou (UP) : Une université publique située dans le nord, connue pour ses programmes variés.

3.Université Nationale d’Agriculture (UNA) : Située à Sakété, spécialisée dans les sciences agricoles, l’agropastoralisme, la foresterie et l’aquaculture.

4.Université des Sciences, Arts et Techniques de Natitingou (USATN) : Située dans l’Atacora, elle offre des formations axées sur les sciences, les arts et les techniques.

5.Université Catholique de l’Afrique de l’Ouest (UCAO) : Une institution privée offrant des programmes avec une perspective chrétienne.

6.Université Polytechnique Internationale Obiang Nguema Mbasogo (UPI-ONM) : Une université privée axée sur les sciences et les technologies.

7.École Supérieure des Sciences et Techniques de l’Ingénieur (ESSTIN) : Spécialisée dans les domaines techniques et d’ingénierie.

Le Bénin ne dispose pas encore d’une grande infrastructure dédiée exclusivement à la formation d’ingénieurs comme dans certains pays. Il existe tout de même des initiatives et des établissements qui offrent des formations dans ce domaine.

1.Le Centre International des Classes Préparatoires d’Ingénieurs (CICP-IUMA) à Cotonou propose des classes préparatoires pour les futurs ingénieurs. Ces programmes permettent aux étudiants de poursuivre ensuite leurs études dans des écoles d’ingénieurs partenaires à l’étranger.

2.L’Université d’Abomey-Calavi (UAC)

3.L’Université Polytechnique Internationale Obiang Nguema Mbasogo (UPI-ONM) offrent des programmes techniques et scientifiques qui peuvent servir de base pour des carrières en ingénierie.

Cela dit, il est évident que le Bénin doit intensifier ses efforts pour renforcer ses infrastructures et ses programmes afin de répondre aux besoins croissants en ingénierie et en technologie. Une nouvelle dynamique s’impose pour mettre en lumière nos compétences techniques et professionnelles, consolidant ainsi la garde de la prospérité du Bénin. Pour cela, il est urgent de créer des universités dédiées à la formation d’ingénieurs ainsi que des centres de recherche et d’incubation technologique. Ces initiatives auront pour objectifs de :

  • Promouvoir l’ingéniosité locale et stimuler l’innovation.
  • Favoriser la recherche, la créativité, la découverte et l’invention.
  • Valoriser et promouvoir les innovations issues du terroir.
  • S’ouvrir au monde tout en exploitant les acquis universels de la recherche scientifique.

Le but de ces universités et centres est d’offrir des opportunités de recherche et de réflexion en mettant à disposition des citoyens des plateformes, des ateliers, des laboratoires, ainsi que des approches pédagogiques, techniques et scientifiques adaptées.

C’est précisément ici qu’interviennent le greffage et le capsocalisme technologiques : une option stratégique visant à favoriser la technologie commerciale tout en valorisant scientifiquement les pratiques traditionnelles. Ce sera l’occasion de la prise de conscience du potentiel national pour produire davantage et vendre tout en nous valorisant nous-mêmes. Nous trouverons ainsi les solutions appropriées à nos problèmes. Ce sera le défi majeur du Bénin au cours de ce 21ème siècle. Nous concevrons des méthodes et des procédures adaptées à nos réalités, en tirant parti du tronc commun des nouvelles technologies et des manuels de procédures disponibles pour tous. Ensuite, nous travaillerons sans relâche pour justifier, quantifier et concrétiser nos idées, intuitions, savoir-faire et rêves.

Pour un pays à revenu intermédiaire comme le Bénin, l’ancrage technologique représente une opportunité décisive et stratégique. Il incarne à la fois une voie prometteuse et un défi nécessitant une planification minutieuse et une gestion stratégique, afin de maximiser les bénéfices tout en minimisant les risques. Ce sera une impulsion technologique » pour incarner parfaitement l’idée d’une dynamique forte et transformative, sous forme de « Percée ». L’ancrage technologique contribuera à:

1.Accélérer le développement économique : En intégrant les technologies, stimuler l’industrialisation, générer des emplois à forte valeur ajoutée et diversifier les sources de revenus.

2.Améliorer la qualité de vie : Favoriser l’accès universel aux services éducatifs, sanitaires et administratifs grâce à la digitalisation, tout en promouvant l’inclusion sociale et le progrès humain.

3.Assurer une souveraineté numérique : Contrôler les infrastructures stratégiques et protéger les données critiques pour garantir une véritable indépendance nationale.

Cette option va nécessiter des infrastructures modernes afin de permettre au Bénin de s’imposer sur la scène sous-régionale et continentale. Le budget publique, soutenu à travers le PPP, sera fortement sollicité pour assurer :

1.Les investissements massifs : Mettre en place des infrastructures technologiques modernes nécessite des ressources financières considérables, parfois difficiles à mobiliser.

2.Le renforcement des capacités humaines : Il est impératif de former des experts locaux en technologie pour éviter une dépendance excessive à l’égard de l’expertise étrangère.

  1. L’équité d’accès : Lutter contre les disparités géographiques et sociales pour s’assurer que tous les citoyens, qu’ils soient en milieu urbain ou rural, bénéficient des avancées technologiques.

4.La gestion de la transition : Prévoir des mesures pour accompagner les secteurs traditionnels qui pourraient être affectés par la technologie, et éviter l’exclusion sociale de certains groupes.

5.La cybersécurité : Protéger les systèmes et les données du pays contre les cyberattaques devient primordial à mesure que les infrastructures numériques se développent.

6.Le soutien aux étudiants : Fournir des bourses et des subventions pour permettre aux talents locaux de suivre ces formations et de contribuer au développement du pays.

Même si ces investissements demandent un engagement financier considérable, ils porteront des fruits durables en stimulant l’économie nationale, en réduisant la dépendance aux experts étrangers, et en positionnant le Bénin comme un leader régional. Avec une vision stratégique et des priorités clairement définies, chaque centime investi peut transformer le potentiel latent du pays en une réalité dynamique et prospère.

L’ancrage technologique constituera pour le peuple béninois une véritable plateforme d’immersion dans l’innovation et la découverte scientifique. Pour initier cette transformation, il faudra établir plusieurs universités de formation d’ingénieurs ainsi que des centres de recherche et d’application. Toutes les techniques disponibles seront explorées, et les approches non institutionnelles ou informelles seront canalisées et renforcées. Bien que les premiers pas puissent paraître hésitants, ils évolueront graduellement vers une organisation rigoureuse et méthodique. Cependant, la clé de cette révolution demeure dans l’impulsion intérieure : le désir d’innover, d’ajouter une véritable valeur sociale et économique, et de résoudre les défis locaux. Toute personne porteuse d’idées novatrices trouvera ici un cadre pour les concrétiser, avec une priorité accordée à celles qui améliorent les conditions de vie et de travail. C’est ainsi que le Bénin atteindra sa véritable grandeur. Après tout, le génie, c’est 99 % d’inspiration et 1 % de transpiration.

Il faut se rappeler que miser sur la formation des ingénieurs revient à investir dans le futur, la compétitivité et la souveraineté d’un pays. C’est un pilier fondamental pour bâtir une nation résiliente, capable de relever les défis mondiaux et d’améliorer de manière significative le bien-être de ses citoyens. Les ingénieurs jouent un rôle central dans le développement des sociétés modernes, et leur formation représente un levier stratégique pour transformer les aspirations nationales en réussites concrètes:

1.Pilier de l’innovation technologique : Les ingénieurs conçoivent et mettent en œuvre les technologies qui transforment nos vies : des télécommunications à l’intelligence artificielle en passant par les énergies renouvelables. Sans eux, le progrès technologique stagne.

2.Résolution des problèmes complexes :Ils apportent des solutions pratiques à des défis majeurs tels que la protection de l’environnement, la sécurité alimentaire, ou la gestion des ressources naturelles. Leur expertise est cruciale pour relever ces enjeux.

  1. Développement économique : L’ingénierie stimule l’économie en créant des emplois, en soutenant l’industrie, et en développant des infrastructures durables comme les routes, les ponts, et les centrales énergétiques.
  2. Amélioration de la qualité de vie : Grâce à leurs innovations, les ingénieurs améliorent la santé, l’éducation, la mobilité, et bien d’autres aspects du quotidien, en rendant les technologies accessibles et efficaces.
  3. Réduction de la dépendance extérieure : Former des ingénieurs qualifiés permet de limiter la dépendance vis-à-vis des experts étrangers, en dotant le pays de ressources humaines capables de répondre aux besoins locaux.
  4. Dynamisme des secteurs stratégiques : Des secteurs comme l’agriculture, l’énergie, la santé, ou les transports nécessitent des compétences techniques pointues que seuls des ingénieurs bien formés peuvent fournir.

Pour favoriser l’émergence du génie local, le Bénin peut s’inspirer des réussites de plusieurs pays en développement tels que la Malaisie, la Corée du Sud et le Brésil. Ces exemples montrent qu’un investissement stratégique dans des universités de formation d’ingénieurs peut transformer l’économie et la société. Il est donc impératif de consentir des efforts pour créer des institutions adaptées, capables de répondre aux défis locaux et de stimuler l’innovation nationale

1.Trois (03) universités technologiques spécialisées : pour se concentrer sur des domaines spécifiques comme l’ingénierie mécanique, électrique, informatique, et les technologies émergentes

2.Deux (02) instituts de recherche et d’innovation : qui vont combiner la formation académique et la recherche avancée pour résoudre des problèmes industriels.

3.Deux (02) universités polytechniques : pour offrit des programmes pratiques et appliqués, en mettant l’accent sur les besoins locaux et régionaux.

4.Deux (02) écoles d’ingénieurs axées sur le développement durable : pour être des atouts pour le Bénin au regard de l’importance croissante des énergies renouvelables et de l’agriculture durable.

Pour véritablement voir les fruits de nos semences, il est impératif que des allocations financières issues du budget national soient prévues pour couvrir les coûts d’installation et de fonctionnement des centres de recherche. Investir dans ces institutions est une nécessité incontournable pour stimuler l’innovation et répondre aux besoins spécifiques du Bénin dans divers secteurs stratégiques. Ensemble, ces centres constituent un écosystème synergique capable de propulser le développement économique et social du pays vers de nouveaux sommets. Les centres concernés sont les suivants:

1.Centre de Recherche Agricole et Alimentaire – le CRAGAL en partenariat avec les institutions agricoles, renforcera la sécurité alimentaire et l’efficacité des pratiques agricoles locales.

2.Centre de Recherche Phyto-Thérapeutique – le CREPHYT sera une plateforme cruciale pour la valorisation de la médecine traditionnelle et des solutions phytothérapeutiques, contribuant à la santé publique.

3.Centre de Recherche Technologique – le CRETEC avec le soutien de l’UAC et du Génie Rural, favorisera le développement technologique et l’industrialisation du pays.

4.Centre de Recherche, d’Expérimentation et de Valorisation des Acquis Locaux – le CREVAL orienté vers la préservation des acquis culturels et locaux, servira de moteur pour la promotion des innovations enracinées dans le patrimoine national.

5.Centre de Recherche Médicale – CRM jouera un rôle clé dans l’amélioration de la santé grâce à la recherche médicale de pointe.

6.Centre de Recherche sur Intelligence Artificielle et la Science traditionnelle -CRIAS fusionnera intelligence artificielle et savoirs traditionnels pour promouvoir des solutions novatrices adaptées à nos réalités.

7.Centre d’Expérimentation Technique et Militaire – CETEM, sous l’égide du Ministère de la Défense, stimulera l’autosuffisance en équipements militaires et utilitaires.

8.Centre de Formation Spécialisée – CEFORS garantira une préparation optimale des forces de l’ordre y compris les forces paramilitaires à travers des formations spécialisées.

9.Centre d’Homologation et de Promotion des Innovations -CHPI validera et mettra en avant les innovations locales, soutenant leur adoption et leur impact.

NB :

1-Le rôle des institutions en arrière-plan ainsi que les conditions d’interactions entre les chercheurs et les sociétés privées et les opérateurs économiques qui acceptent d’acheter les brevets de fabrication ou de transformation, seront fixés ultérieurement.

2-Les experts détermineront les lieux d’implantation des centres

3-Quatre (04) écoles de formations techniques et professionnelles seront également créées pour mettre en valeur les acquis du CRAGAL, du CREPHYT, du CRETEC et du CREVAL

Pour répondre aux exigences intellectuelles de ces universités et centres de recherches, le Bénin devra améliorer le cursus des apprenants et établir un système d’orientation et de préparation à la base. Il effort initial sera fait à partir de l’enseignement secondaire. En plus des  2 lycées militaires de Bembèrèkè et de Natitingou, quatre (04) lycées – internats seront créés.

1.Un lycée national – internat dans l’Atlantique-Littoral (dès la 6ème)

2.Un lycée national – internat dans le Mono – Couffo (dès la 6ème)

3.Un lycée  national- internat dans l’Ouémé – Plateau (dès la 6ème)

4.Un lycée national – internat dans le Zou-Collines (dès la classe de seconde) des CRAC Cadres de Référence pour l’Administration et la Communauté. Les élèves CRAC évolueront en priorité dans le sillage de l’IREHG

Il s’agit d’un Institut des Hautes Etudes Géopolitiques et Géostratégiques – IRHEG pour le personnel civil et militaire. Les conditions d’admission seront déterminées par les experts. Le Bénin a besoin d’analystes de haut niveau dans tous les domaines d’activités. La diplomatie préventive et dynamique ainsi que l’intelligence économique sont le résultat de pratiques constantes d’analyses. Les priorités seront portées sur l’économie, la géopolitique et la sécurité. C’est un cycle de deux (02) ans. Les Ph.D analystes issus de cet institut seront priorisés pour servir de Directeur de cabinet et Directeurs de structures d’Etat.

L’IRHEG se chargera également de la formation des Secrétaires Psychologues pour accompagner les directeurs ou représentants des grandes structures nationales et privées. En deux (02) ans, ils seront formés pour la prise de notes des échanges de haut niveau. Ce sont des agents renifleurs qui apprécieront le contexte, les rapports humains lors des séances. Formés pour détecter les non-dits, ils travailleront comme des greffiers. Les rapports de séances de ces secrétaires particuliers sont purement psychologiques. Cela servira à modeler à la fois la tactique et la stratégie d’approche de nos institutions, ministères et services. Pour l’admission, la priorité sera donnée au personnel féminin militaire et civil. En principe, les cadres Master 2 ayant fini ce cycle travailleront avec les Ph.D analystes.

L’IRHEG sera également outillé pour former les cadres béninois pour servir dans les institutions internationales et régionales. Feu le Président Mathieu Kérékou disait : «… les cadres béninois ont occupé des postes de haut niveau dans les territoires d’Outre-Mer, dans notre sous-région. Même à Dakar, ils étaient présents…» Il s’agit de repenser l’orientation de la formation des cadres béninois. Une approche intelligente permettra de conquérir plusieurs institutions au-delà des lobbies. Quatre (04) domaines sont ciblés :

1.L’enseignement ;

2.La Logistique ;

3.La Politique ;

4.Les Opérations.

ll est temps de donner vie et direction au potentiel latent de notre nation. En investissant dans nos talents et en construisant des infrastructures solides et futuristes, nous posons les bases d’une prospérité durable, ancrée dans une dynamique technologique. Notre objectif est clair : transformer les aspirations en réussites tangibles en impulsant une technologie commerciale adaptée aux réalités locales et en valorisant nos pratiques traditionnelles par des approches modernes.

Ce défi exige de nous une vision ambitieuse et une action collective : mobiliser les ressources, renforcer les capacités locales et adopter des solutions innovantes pour bâtir un Bénin compétitif sur la scène internationale. Ensemble, nous allons faire de l’ancrage technologique un moteur stratégique pour innover, résoudre nos défis locaux et stimuler une croissance inclusive.

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