Les jeudi 07 mars et vendredi 08 mars 2024, à l’instar de tous les pays du monde entier, les femmes du Bénin étaient à l’honneur à travers deux rencontres de réflexion sur le statut de la femme et les stratégies à mettre en œuvre pour garantir une condition de vie acceptable à chacune d’elle.

Comment faire pour accélérer les investissements en faveur de la femme pour susciter autour d’elle un épanouissement probant ? c’est la grande question qui était inscrit au cœur de l’impressionnant forum consacré à la journée du 08 mars, simultanément à la Tour administrative et à la salle bleue du Palais des congrès de Cotonou. Déroulé sous l’égide de madame le ministre de la famille et de la promotion sociale, Véronique Tognifodé, appuyé par l’Institut national de la femme (Inf), cette rencontre qui a connu son épilogue, vendredi 8 mars 2024, a permis aux différents participants de faire un état des lieux en mettant le doigt sur les réalités aliénantes de la liberté féminine. Ensuite, un coin de voile est levé sur les moyens qu’utilise l’Etat béninois aujourd’hui pour que la situation s’allège pour la gent féminine afin de lui permettre de recouvrer véritablement une vie plus ou moins épanouissante.

Pour le ministre de l’enseignement secondaire et de la formation professionnelle, Yves Chabi Kouaro, reçu dans le panel de la deuxième journée des assises, plusieurs mesures prises aujourd’hui par le gouvernement au niveau de son sous-secteur permettent à l’adolescente des cours secondaires de fréquenter librement les classes. Entre autres, les mesures de sanction sévère prises contre les enseignants auteurs du harcèlement et de tout autre acte allant dans ce sens. On peut compter également la dématérialisation de certaines formalités scolaires qui éloignent les apprenantes des services administratifs, etc.

Le ministre de la santé qui était aussi sur ce panel au même titre que son collègue de l’enseignement secondaire, a fait savoir qu’aujourd’hui le Bénin peut se réjouir d’avoir des cellules sanitaires de prise en charge gratuite au niveau des centres de santé au profit des femmes. Celle en charge de l’enseignement supérieur souligne la promotion d’un grand nombre de femmes dans les instances de gestion de l’université et dans l’échelonnement des différents grades. Un bilan qui expose l’avancée notable que le Bénin a connu grâce aux efforts considérables accomplis par le régime de la Rupture.

Bref, la femme au Bénin connait de plus en plus un plein épanouissement en termes de protection et de la promotion. « Accélérer les investissements, c’est faire en sorte que notre pays réponde plus rapidement à ses propres engagements pris à l’aune des stratégies internationales, régionales et sous-régionales auxquelles il est partie prenante. Le choix du renforcement du capital humain inscrit dans le plan national de développement à l’horizon 2025 requiert ainsi une grande attention à la participation et à l’inclusion des femmes dans les processus de prise de décision » mentionne le ministre Véronique Tognifodé.

TG

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