Surnommé le « Quadra Koraman » par ses fans, Koffi Olomidé est une véritable légende de la musique africaine. Son talent, sa créativité et son œuvre riche ont traversé les frontières et ont su séduire plusieurs générations de mélomanes. Malgré l’annulation de son concert prévu à Paris, le célèbre chanteur a été honoré par la SACEM qui l’a officiellement reconnu comme Sociétaire définitif et va apporter son expertise musicale ou artistique dans cette société qui existe depuis 1851. Cette reconnaissance rare et prestigieuse, reçue le mardi 10 juin 2025 à Paris, vient couronner une carrière exceptionnelle et témoigne de sa contribution immense à la musique africaine. En devenant l’un des auteurs-compositeurs les plus influents du monde, le patron du Quartier Latin, Koffi Olomidé entre dans un cercle très restreint et devient une icône incontestée de la musique africaine. Sa voix, son charisme et ses mélodies ont su conquérir le cœur du public, faisant de lui une figure emblématique de la scène musicale internationale.

Le rôle de la Sacem

La SACEM collecte les droits d’auteur pour la diffusion publique (salles de concert, médias, internet, etc.) et pour la reproduction sur support (disques, vidéos, etc.) des œuvres de ses membres. Il s’agit d’une structure qui défend les intérêts de ses adhérents en France et à l’étranger, négociant les droits d’auteur et les tarifs. Elle soutient également la création et la diffusion des œuvres, notamment en offrant un soutien financier et d’expertise aux projets de ses membres.

Comment intégrer la Sacem ?

Pour devenir adhérent, il faut être auteur, compositeur ou éditeur de musique.  Il faut concevoir le dossier qui comporte : une copie d’identité, un justificatif d’exploitation de l’œuvre, et le paiement des frais d’admission. Il faut aussi déclarer les œuvres dès leur création, soit en ligne, soit via un formulaire papier.

Importance de la Sacem…

La SACEM est un pilier essentiel de l’industrie musicale française. Sa gestion des droits d’auteur permet aux auteurs, compositeurs et éditeurs de vivre de leur travail créatif.

Sources : sicavicom.bj

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