En Afrique, la masse populaire mène généralement des activités de subsistance. Prenons l’exemple des vendeuses de beignets et de bouillie que l’on retrouve un peu partout le long des rues de nos villes et villages, au Bénin. Les offres de ces dames sont entrées dans nos habitudes alimentaires. Ces beignets sont surtout consommés au petit-déjeuner et au goûter. La jonction des principes du capitalisme et du socialisme au profit de ces dames nous amènera à créer par exemple « ZOZO-PIA» (Tout Chaud) pour remplacer les cafétérias et IRI-WIN-NE pour servir de lieu de rencontre pour déguster les mets locaux. Tous les ZOZO-PIA financés par l’Etat auront une architecture unique. Il en sera de même pour tous les IRI-WIN-NE.

Pour cela, il faudra organiser les vendeuses ou vendeurs en équipes. Ce qui imposera la  construction de grands kiosques qui fonctionneront 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Les nutritionnistes aideront à préparer les beignets avec des ingrédients locaux pour répondre aux exigences du marché moderne et international. C’est cela le greffage. Les femmes seront équipées et formées pour produire du capital. C’est le Capsocalisme. Elles rembourseront les prêts consentis par les établissements de crédit ou les sociétés de financement. Au bout de quelques mois, elles seront enregistrées à la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS) et deviendront des employés éligibles pour une pension de retraite. L’Etat soutiendra tout le secteur en se portant garant pour les prêts que nous appelons ‘Crédit-Entreprise’’ parce que plus consistants que les micro-crédits.

Au bout de quelques mois, un millier de kiosques seront établis dans le pays. Puis, plusieurs modèles de production de biens verront le jour sur le long terme. Des emplois par milliers seront ainsi créés sur toute l’étendue du territoire national. C’est le phénomène des entreprises et industries qui sont au-dessus des PME et PMI. C’est ce qui a constitué le fer de lance des économies dans les pays occidentaux.

Pour ce crédit-Entreprise, l’intervention publique par des subventions sera capitale. Sinon le décollage restera un mythe. Il urge donc de refuser le statu quo en créant les conditions pour le bien-être commun. Car, pendant que le greffage améliore le produit, le Capsocalisme  fait la promotion de ce même produit. Ainsi, d’autres personnes pourront assurer une production alliant qualité et quantité dans une dynamique de décollage économique.

Les peuples qui se mobilisent facilement pour défendre leurs pays, sont ceux qui travaillent et qui savent s’organiser. Précisons également que le Capsocalisme va au-delà de la solidarité et de la vie communautaire au sens africain du terme. Il est différent du « revenu universel » ou du « Revenu d’Existence Physique ». Le Capsocalisme interpelle chaque citoyen. Il assure une organisation du système économique pour réduire les inégalités, le coefficient de Gini  et les frustrations. Il permet au citoyen d’être fier de soi et de son pays. Lorsqu’il est mis en place, le Capsocialisme contribue à l’épanouissement des populations. « Donnons- nous la main », c’est le slogan du Capsocalisme. Soyons tous gagnants et partageons le plaisir.

Le commerce intérieur reste le pilier fondamental pour la croissance économique et le développement durable d’une nation. Les actions de foi en l’avenir du Bénin portent en effet, sur le commerce intérieur dont le but est d’assurer les transactions entre les producteurs, les entreprises, les consommateurs et le gouvernement. Pour le bon fonctionnement de cette chaine, le crédit occupe une place vitale pour la croissance économique de la nation.

Actuellement au Bénin, le commerce intérieur vibre au pas des produits importés dont la qualité du contenu et du contenant échappe très souvent à nos services de contrôle. Alors, il est difficile de préciser l’ampleur aussi bien sur les hommes que sur l’économie nationale. Le constat reste amer. Les niches de travail ne subissent aucun choc pour diversifier les opportunités d’emplois au profit de la jeunesse.

La bonne approche serait de revoir notre motivation pour ne pas dire la décision et l’engagement soutenus par les actions induites par l’aciérie, la plasturgie et la fonderie ainsi que, et par-dessus tout, la persévérance. Ce sont les piliers dont le Bénin a besoin de la part de l’élite nationale pour faire booster le commerce intérieur qui reste vital pour la croissance économique et le développement durable d’une nation. Pour une première percée, mes regards sont portés sur les cafétérias et Restaurants Fastfood qui poussent le long de nos artères en ville comme au village. L’action que je propose est la rénovation de ces centres commerciaux en ZOZO-PIA (Tout Chaud) pour les cafétérias et en IRI-WIN-NE (De Chez Nous) pour les restaurants fastfood et cela, pour promouvoir les mets locaux. Je rappelle à notre mémoire l’affluence sur les stands des vendeuses de beignets, consommés comme petit-déjeuner et goûter. Les offres de ces dames sont entrées dans nos habitudes alimentaires. Le but visé par cette rénovation, est de recréer dans la bouche des compatriotes, la saveur améliorée de mets à base de manioc, d’igname, du haricot, de l’arachide…

L’Etat accordera non pas du micro-crédit, mais du Crédit-Entreprise pour la fabrication de gazinières et de réfrigérateurs solaires, de comptoirs, d’ustensiles, de cartons, de plastiques d’emballage et de gobelets… Pour les ZOZO-PIA, le crédit pour la rénovation sera prioritairement accordé aux citoyens organisés en équipes. S’agissant des IRI-WIN-NE, le crédit sera essentiellement accordé aux équipes. Seuls les matériaux et matériels fabriqués sur le territoire national seront autorisés. En plus de ANAN (Agence Nationale de l’Alimentation et de la Nutrition) et ABSSA (Agence Béninoise de Sécurité Sanitaire des Aliments) pour le suivi scientifique, un Centre d’Homologation et de Promotion des Innovations – CHPI sera créé. Je vous en parlerai plus tard.

Dans chaque université et établissement primaire et secondaire, un complexe de IRI-WIN-NE et de ZOZO-PIA sera construit sous forme d’investissement direct dans l’avenir du pays. Ce cadre de restauration de haut standing aura des impacts positifs multiples sur la communauté universitaire et scolaire. En vérité, investir dans la santé des citoyens n’est pas seulement une question de bien-être social, mais aussi une stratégie économique intelligente pour assurer la croissance et la stabilité à long terme.

Planifier des kiosques pour restaurer les valeurs culinaires et gustatives locales aura un impact très positif. C’est un projet qui va non seulement raviver les traditions culinaires locales, mais aussi éduquer les gens sur l’importance de préserver ces valeurs. Voici quelques pistes d’actions :

  1. Recherche et sélection des recettes : Identifier les plats traditionnels qui sont populaires et représentatifs de la culture locale. S’assurer de recueillir des recettes authentiques et de comprendre les techniques de préparation.
  2. Collaboration avec des experts locaux : Travailler avec des chefs locaux, des historiens culinaires ou des associations culturelles pour garantir l’authenticité et la qualité de tes offres.
  3. Utilisation d’ingrédients locaux : Mettre l’accent sur l’utilisation d’ingrédients locaux et de saison. Cela servira à soutenir les agriculteurs locaux et garantit la fraîcheur des plats.
  4. Formation du personnel : Former les citoyens aux techniques de cuisine traditionnelle et à l’importance des valeurs culinaires locales. Ils doivent être capables de préparer les plats avec soin et de partager l’histoire et la culture derrière chaque recette avec les clients.
  5. Design et ambiance des kiosques : Créer une ambiance qui reflète la culture locale. Utiliser des éléments de décoration traditionnels et assure-toi que l’environnement est accueillant et authentique.
  6. Marketing et promotion : Utiliser les réseaux sociaux et d’autres plateformes pour promouvoir les kiosques. Mettre en avant l’authenticité et la qualité de s plats que tu proposes. Organiser des événements ou des dégustations pour attirer les clients.
  7. Feedback des clients : Écouter les retours des clients pour améliorer continuellement tes services et les plats. Cela t’aidera à mieux répondre à leurs attentes et à maintenir un haut niveau de satisfaction.

La connexion entre les valeurs locales et la modernité est un sujet fascinant et complexe. Voici quelques points clés qui illustrent cette relation :

  1. Préservation de la culture : Les valeurs locales, telles que les traditions, les coutumes et les pratiques culturelles, sont souvent intégrées dans des contextes modernes pour préserver l’identité culturelle. Par exemple, les restaurants modernes peuvent incorporer des recettes traditionnelles ou des méthodes de cuisson ancestrales.
  2. Adaptation et innovation : La modernité apporte des innovations technologiques et des pratiques commerciales qui peuvent être adaptées pour respecter et valoriser les traditions locales. Par exemple, l’utilisation de technologies modernes pour promouvoir l’artisanat local ou pour améliorer les pratiques agricoles traditionnelles.
  3. Économie locale : Les entreprises modernes, y compris les fast-foods, peuvent soutenir l’économie locale en utilisant des ingrédients locaux et en collaborant avec des fournisseurs locaux. Cela crée une synergie entre les valeurs locales et les pratiques commerciales modernes.
  4. Éducation et sensibilisation : La modernité permet une meilleure éducation et une sensibilisation accrue aux valeurs locales. Les médias modernes et les plateformes numériques peuvent être utilisés pour promouvoir et éduquer les gens sur les traditions et les valeurs locales.
  5. Tourisme culturel : La modernité facilite le tourisme, ce qui permet aux visiteurs de découvrir et d’apprécier les valeurs locales. Les infrastructures modernes, comme les hôtels et les transports, rendent les destinations culturelles plus accessibles.
  6. Développement durable : Les valeurs locales souvent centrées sur le respect de la nature et des ressources peuvent être intégrées dans des pratiques modernes de développement durable. Cela inclut l’utilisation de techniques agricoles traditionnelles qui sont respectueuses de l’environnement.

Le commerce intérieur désigne l’ensemble des échanges de biens et de services qui se déroulent à l’intérieur des frontières d’un même pays. Cela inclut les transactions entre les entreprises, les consommateurs et les gouvernements au sein de ce territoire.

Les impacts économiques du commerce intérieur sont :

  1. Création d’emplois : Il génère des emplois dans divers secteurs tels que la production, la distribution et la vente au détail.
  2. Croissance économique : En stimulant la production et la consommation locales, le commerce intérieur contribue à la croissance économique du pays.
  3. Stabilité économique : En réduisant la dépendance aux marchés étrangers, il aide à stabiliser l’économie nationale.
  4. Investissement et développement : Encourage l’investissement dans les infrastructures locales et le développement des entreprises.

C’est à juste titre que l’accent est mis partout dans le monde sur les entreprises. Car, elles jouent un rôle crucial dans le commerce intérieur, c’est-è-dire pour la vitalité et la résilience de l’économie nationale. Leur fonctionnement engendre plusieurs impacts économiques significatifs.

  1. Création d’emplois : Les entreprises, qu’elles soient petites, moyennes ou grandes, génèrent des emplois locaux, ce qui réduit le chômage et augmente le pouvoir d’achat des consommateurs.
  2. Innovation et compétitivité : Les entreprises stimulent l’innovation en développant de nouveaux produits et services. Cela augmente la compétitivité sur le marché intérieur.
  3. Investissements locaux : Les entreprises investissent dans les infrastructures locales, telles que les usines, les bureaux et les magasins, ce qui contribue au développement économique régional.
  4. Augmentation des revenus fiscaux : Les entreprises paient des impôts qui financent les services publics et les infrastructures, améliorant ainsi la qualité de vie des citoyens.
  5. Intégration dans les chaînes de valeur : Les entreprises locales peuvent s’intégrer dans les chaînes de valeur nationales et internationales, augmentant ainsi leurs opportunités de croissance et d’exportation.

Pour le Bénin qui dépend fortement des importations, voici quelques conseils pour renforcer l’économie et réduire cette dépendance :

  1. Renforcement de la production locale : Investir dans la production locale de biens essentiels peut réduire la dépendance aux importations. Cela peut inclure des politiques de soutien aux agriculteurs locaux, la promotion de l’agro-industrie et le développement d’entreprises.
  2. Transformation locale des matières premières : Plutôt que d’exporter des matières premières brutes, le Bénin devrait investir dans la transformation locale pour ajouter de la valeur et créer des emplois.
  3. Diversification de l’économie : Il est crucial de diversifier les secteurs économiques pour ne pas dépendre uniquement de quelques produits ou industries. Cela inclut le développement de l’agriculture, de l’industrie manufacturière et des services.
  4. Amélioration des infrastructures : Des infrastructures efficaces (routes, ports, réseaux électriques) sont essentielles pour soutenir la production locale et faciliter le commerce intérieur. Cela peut également attirer des investissements étrangers.
  5. Formation et éducation : Investir dans l’éducation et la formation professionnelle pour développer une main-d’œuvre qualifiée est crucial. Cela permet d’améliorer la productivité et d’encourager l’innovation locale.
  6. Réformes réglementaires : Simplifier les régulations et améliorer le climat des affaires pour encourager les investissements locaux et étrangers. Cela inclut la protection, la sécurisation des droits de propriété, la simplification des procédures administratives et la lutte contre le détournement.
  7. Promotion des échanges intra-africains : Encourager le commerce entre les pays africains peut réduire la dépendance aux marchés extérieurs. L’Accord de libre-échange continental africain (AfCFTA) est un pas important dans cette direction.
  8. Utilisation des technologies numériques : Les technologies numériques peuvent améliorer l’efficacité des chaînes d’approvisionnement, faciliter l’accès aux marchés et promouvoir l’innovation. Investir dans la connectivité numérique est donc essentiel.

Mettre l’accent sur la production locale et la transformation des produits sur le territoire national présente plusieurs avantages importants. En réalité, la production et la transformation locales sont des stratégies clés pour promouvoir un développement économique durable et inclusif.

Cela permet :

  1. Création d’emplois : La production et la transformation locales génèrent des emplois pour les habitants, réduisant ainsi le chômage et améliorant les conditions de vie.
  2. Réduction des coûts de transport : En produisant et en transformant les produits localement, on réduit les coûts liés au transport des marchandises sur de longues distances, ce qui peut également diminuer l’empreinte carbone.
  3. Valorisation des ressources locales : Cela permet d’exploiter et de valoriser les ressources naturelles et humaines locales, contribuant ainsi à une économie plus autosuffisante et résiliente.
  4. Qualité et fraîcheur des produits : Les produits locaux sont souvent plus frais et de meilleure qualité car ils n’ont pas à parcourir de longues distances pour atteindre les consommateurs.
  5. Soutien aux entreprises : Encourager la production locale aide les entreprises à se développer, ce qui diversifie l’économie et réduit la dépendance aux grandes entreprises multinationales.
  6. Sécurité alimentaire : La transformation locale des produits agricoles peut améliorer la sécurité alimentaire en assurant une disponibilité constante de produits alimentaires de base.
  7. Renforcement de l’économie locale : L’argent dépensé pour des produits locaux reste dans la communauté, ce qui stimule l’économie locale et favorise le développement régional.
  8. Innovation et développement technologique : La transformation locale peut encourager l’innovation et le développement de nouvelles technologies adaptées aux besoins et aux ressources locales.

S’agissant des ZOZO-PIA et IRI-WIN-NE, il importe de noter que la santé des citoyens joue un rôle crucial dans la vitalité et la résilience de l’économie d’une nation. C’est pourquoi, investir dans la santé des citoyens n’est pas seulement une question de bien-être social, mais aussi une stratégie économique intelligente pour assurer la croissance et la stabilité à long terme

  1. Productivité accrue : Les personnes en bonne santé sont plus productives. Elles peuvent travailler plus efficacement et sont moins souvent absentes pour cause de maladie1.
  2. Réduction des coûts de santé : Une population en bonne santé réduit les dépenses publiques et privées en soins de santé. Cela permet de réallouer ces ressources à d’autres secteurs économiques2.
  3. Longévité et épargne : Les individus en bonne santé vivent plus longtemps et peuvent contribuer à l’économie pendant une période plus longue. Ils sont également plus susceptibles d’épargner, ce qui peut stimuler les investissements1.
  4. Résilience face aux crises : Une population en bonne santé est mieux équipée pour faire face aux crises, qu’elles soient économiques, climatiques ou sanitaires. Cela renforce la capacité d’une nation à se remettre rapidement des chocs3.
  5. Attraction des investissements : Les entreprises sont plus enclines à investir dans des pays où la main-d’œuvre est en bonne santé, car cela garantit une meilleure productivité et moins de perturbations4.

CLOUBOU Noumonvi Agboessi                                                                                                                                              Abomey Calavi, le 16 octobre 2024

Lieutenant-colonel des FAB (r)

Conseiller à la sécurité des Nations Unies (r)

01 BP 1020 Cotonou, République du Bénin

Email : aclou12@gmail.com Tel / WhatsApp : +22965323002

                                                                                                                 Au Peuple Béni du Bénin

OBJET : Le Crédit-Entreprise pour des Kiosques ZOZO-PIA et IRI-WIN-NE.

Béninoises et Béninois,

Il est temps de passer du micro-crédit au crédit-entreprise pour formaliser le travail des vendeuses et des vendeurs de beignets ou de thé pour en faire des emplois. L’approche est d’organiser nos sœurs et frères sans emplois, en équipes de 2 à 5 membres et de les soutenir à la construction, à l’équipement et au fonctionnement des kiosques. Il s’agit de créer un cadre de travail plus sain pour un niveau élevé de production.

Le domaine visé, c’est le commerce intérieur qui est le pilier central de la croissance économique et du développement durable d’une nation. Pour une première percée, mes regards sont portés sur les cafétérias et Restaurants Fastfood qui poussent le long de nos artères tant en ville qu’au village. L’action que je propose est la rénovation de ces centres commerciaux en ZOZO-PIA (Tout Chaud) pour les cafétérias et en IRI-WIN-NE (De Chez Nous) pour les restaurants fastfood et cela, pour promouvoir les mets locaux. Je rappelle à notre mémoire l’engouement pour les stands des vendeuses de beignets, appréciés comme petit-déjeuner et goûter. Les offres de ces dames sont entrées dans nos habitudes alimentaires. Le but visé par cette rénovation, est de recréer dans la bouche des compatriotes, la saveur améliorée des mets locaux.

L’Etat accordera non pas du micro-crédit, mais du Crédit-Entreprise pour la fabrication de gazinières et de réfrigérateurs solaires, de comptoirs, de cartons et de plastiques d’emballage, … Pour les ZOZO-PIA, le crédit pour la rénovation sera prioritairement accordé aux citoyens qui s’organisent en équipe. S’agissant des IRI-WIN-NE, le crédit sera essentiellement accordé aux équipes. Seuls les matériaux fabriqués sur le territoire national seront autorisés. En plus de ANAN et ABSSA pour le suivi scientifique, un Centre d’Homologation et de Promotion des Innovations  – CHPI sera créé. Je vous en parlerai plus tard.

Même dans nos universités et établissements secondaires et primaires, un complexe de IRI-WIN-NE et de ZOZO-PIA sera construit sous forme d’investissement direct dans l’avenir du pays. En vérité, investir dans l’alimentation, c’est-à-dire la santé des citoyens n’est pas seulement une question de bien-être social, mais aussi une stratégie économique intelligente pour assurer la croissance et la stabilité à long terme .

Désormais, ‘’Cafétéria’’ sera remplacé par ZOZO-PIA et nous aurons IRI-WIN-NE Poisson braisé ; Igname pilé ; Manioc au haricot ; Man Tin Djan ; Toubani; Wassa wassa ;  Gari au kuiklui Azin Agnkè; Aglouza au four … Il s’agit de construire des kiosques pour restaurer les valeurs culinaires et gustatives locales.

Le Crédit-Entreprise est la semence initiale consistante pour permettre aux producteurs et aux entreprises de faire battre le cœur de la vitalité et de la résilience de l’économie nationale. Cela aidera à raviver les traditions culinaires locales et aussi éduquer les citoyens sur l’importance de préserver ces valeurs.

  1. Recherche et sélection des recettes : Identifier es plats traditionnels populaires et représentatifs.
  2. Collaboration avec des experts locaux : Travailler avec des historiens culinaires.
  3. Utilisation d’ingrédients locaux : Mettre l’accent sur l’utilisation d’ingrédients locaux et de saison.
  4. Formation du personnel : Former les citoyens aux techniques de cuisine traditionnelle.
  5. Design et ambiance des kiosques : Créer une ambiance qui reflète la culture locale.
  6. Marketing et promotion : Organiser des événements ou des dégustations pour attirer les clients.
  7. Feedback des clients : Écouter les retours des clients pour améliorer continuellement.

Dieu, Sègbo Lissa, bénis nos efforts !

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