Entre le 17 juillet et le 1er août, il n’y a pas de calcul mathématique à effectuer ni d’événements passés à révéler, mais plutôt des moments propices à la réflexion et à la contemplation.

Le Bénin a annoncé la présence d’un potentiel en or pouvant être exploité. Ce constat résulte « des recherches effectuées par des sociétés », ont déclaré les autorités mercredi 17 juillet 2024 – d’où l’importance de cette date.

Cette découverte vient ainsi 15 jours avant le 1er aout – date de la fierté nationale – journée de grande signification historique et symbolique pour le Bénin, célébrant l’indépendance, la souveraineté et l’unité nationale.

Il est évident que cela soit un cadeau divin 15 jours avant la date de la fête nationale, un don de Dieu pour reconnaitre les efforts des Béninoises et Béninois avec S.E Le Président Talon et le gouvernement Béninois en tête. Entre janvier et août 2024, le Bénin a connu d’importants progrès dans divers domaines.

Le pays a :

1-         Investi dans ses infrastructures

2-         Signé des accords internationaux

3-         Mis en œuvre des réformes pour améliorer la gouvernance

4-         Lutté contre la corruption

5-         Intensifié des campagnes de vaccination et des améliorations des infrastructures médicales.

6-         Déployé des efforts pour élargir l’accès à l’éducation et moderniser les programmes scolaires – avec pour exemple l’inauguration de l’Université de 3eme Age.

7-         Avancé dans le développement des énergies renouvelables

8-         Renforcé la promotion du tourisme et organisé des événements culturels pour célébrer son patrimoine.

9-         Vu ses athlètes béninois briller dans des compétitions internationales, soulignant les réussites sportives du pays.

Ces réalisations montrent l’engagement du Bénin à progresser économiquement, socialement, et culturellement tout en consolidant sa place sur la scène mondiale et ces exploits justifient ainsi ce « cadeau divin ».

Il serait important, à partir de là, de mettre en place des perspectives de développement de formation académique, comme des diplômes en géologie ou ingénierie minière ; ou des programmes de formation professionnelle comme des certificats en exploration minière – à suivre.

 

Dr. Mohamed Kayal

Chercheur en Economie

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