Le gouvernement béninois, sous la houlette de Patrice Talon, poursuit sa politique de modernisation des infrastructures routières avec le lancement prochain des travaux de réhabilitation du tronçon Biro-Pèrèrè. Ce projet, long de 13,20 km, vise à améliorer la mobilité des populations locales et à préserver les investissements précédemment consentis.
La décision a été prise lors du dernier conseil des ministres, soulignant l’importance stratégique de cette route pour la région. Actuellement en état de dégradation avancée, le tronçon Biro-Pèrèrè nécessite des actions urgentes pour éviter une détérioration totale de la chaussée.
Pour mener à bien cette réhabilitation, le gouvernement a retenu l’entreprise déjà chargée des travaux sur la route N’Dali-Nikki-Chikandou. Ce choix, motivé par une volonté d’optimisation et de gain de temps, permettra de capitaliser sur l’expérience et les ressources déjà déployées dans la région. Les travaux de réhabilitation devraient ainsi être achevés dans un délai de 8 mois, offrant aux usagers une route remise à neuf et plus sûre.
Impacts économique et social
La réhabilitation de cette voie revêt une importance capitale pour les populations locales. En effet, une infrastructure routière en bon état est essentielle pour le développement économique et social. Elle facilite non seulement les déplacements des personnes, mais aussi le transport des biens et des services, renforçant ainsi les échanges commerciaux.
Engagement du gouvernement
Ce projet s’inscrit dans le cadre plus large des initiatives du gouvernement Talon pour moderniser les infrastructures du pays. Depuis le début de son mandat, le Président Talon a mis un point d’honneur à développer un réseau routier fiable et durable, condition sine qua non pour le développement économique du Bénin.
La réhabilitation du tronçon Biro-Pèrèrè est une étape de plus vers la réalisation de cette vision. Les populations locales attendent avec impatience la fin des travaux qui, en améliorant les conditions de mobilité, contribueront à un meilleur cadre de vie et à une relance économique durable.
Par Jolidon HOUNKPATIN (stag.)
