A la faveur d’une conférence de presse donnée mardi 11 juin 2024 dans les quatre murs de l’espace Macorry situé à Akpakpa, la ligue des droits de femme, dirigée par Johannita Bokossa et soutenue par l’Agence française de développement, annonce un projet favorable pour une lutte efficace contre les violences basée sur le genre.
Cette structure, qui s’occupe spécialement du bien-être des filles et de la femme au plan de la protection juridique, vise, au-delà de l’existant, à redonner corps à une nouvelle base de données capable de rendre compte réellement des cas de violences faites aux filles et femmes. Puisqu’elles sont nombreuses à subir chaque jour que Dieu fait les pires atrocités jamais enregistrées sur la planète. Mais à cause du silence qui leur est imposé par des pesanteurs socio-ethniques elles sont recluses et réduites à leur plus simple expression. << Depuis plus d’un an, la ligue béninoise des droits de femmes a initié le projet du plaidoyer et de la systématisation de la collecte des données sur les violences faites aux femmes.
La ligue intervient dans plusieurs pays tel que le Tchad, le Mali, le Niger, la Côte d’Ivoire, le Bénin pour ne citer que ces pays. Et conjointement ce projet de plaidoyer pour l’institutionnalisation et la systématisation de la collecte des données se déroule ici en Côte d’Ivoire et au Niger », mentionne la présidente de la ligue pour faire toucher du doigt l’importance capitale que revêt l’initiative pour l’épanouissement des filles et des femmes.
Teddy G.
