Se procurer un appareil ou autre article déjà utilisé communément appelé “deuxième main“ peut bien comporter un grand risque susceptible d’entraîner des ennuis judiciaires. C’est ce qu’il faut retenir des mises en garde du porte-parole de la Police républicaine.

 

Selon les propos rapportés du porte-parole de la Police républicaine, le commissaire Eric Yérima, lors de son intervention sur une radio locale, il y a un véritable risque à se procurer des appareils dits de “deuxième main“. Cela peut bien être préjudiciable et être à l’origine des ennuis judiciaires. Si l’achat des téléphones et des ordinateurs de seconde main reste la pratique la plus courante, d’autres articles sont également concernés. A en croire le porte-parole des flics républicains, Eric Yérima, s’offrir des téléphones portables ou ordinateurs de seconde main est un gros risque. « Il y a le risque d’acheter des appareils issus du cambriolage et ceux ayant servi à commettre des infractions liées à la cybercriminalité », a-t-il alerté, dans des propos rapportés par des médias locaux. Et de poursuivre “En prenant le risque d’acheter des appareils de seconde main, vous optez pour la possibilité de répondre pour des activités illicites pour lesquelles ces appareils ont été précédemment utilisés“. Il a, par ailleurs, rassuré que dans la perspective de lutter farouchement contre la cybercriminalité, la police s’est dotée de moyens technologiques qui lui permettent de retracer les téléphones portables ; mieux, de pouvoir recueillir des éléments de preuves dans les ordinateurs même si les données sont effacées. Les populations sont donc exhortées à redoubler de vigilance ou à éviter d’acheter des téléphones portables et ordinateurs dits de « deuxième main ».

 

A.B

 

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