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La Communauté internationale de la rédemption a célébré hier, dimanche 5 décembre 2021, le culte d’ouverture de sa 5e convention 2021. Un évènement doublé de la commémoration du vingtième anniversaire de la communauté. Le culte s’est déroulé au Palais de Dieu de Cotonou.
D’un seul cœur et d’une seule voix, les fidèles de la Communauté internationale de la rédemption (Cir) ont exprimé leur reconnaissance à Dieu pour son accompagnement dans les 20 années qui se sont écoulées depuis la création de la communauté. Louanges, adorations et prières ont été adressées à Dieu pour ses bienfaits dans la vie de la communauté. La 5e convention qui focalise également les attentions et qui se déroule du 5 au 12 décembre, est axée autour du thème : « Levons-nous et bâtissons ». Un thème tiré du livre de Néhémie. Selon les explications du président fondateur de la Cir, le thème est relatif au constat fait par Néhémie et selon lequel le peuple de Dieu végète dans la honte, le déshonneur, le dénuement. Il a donc lancé un appel au peuple qui pour lui, devrait se lever pour bâtir. Toute chose devant susciter l’intervention de Dieu en vue de donner à l’église sa noblesse et sa gloire et pour réinstaller Dieu dans son peuple. Aujourd’hui, fait remarquer l’Apôtre Paul Aguè, le temple Dieu à bâtir, c’est l’église et la vie des chrétiens. Et pour bâtir, il faut disposer d’un plan, du matériau et des ouvriers. A l’en croire, le premier matériau, ce sont les non croyants que la convention s’attèlera à gagner pour Christ. Le second matériau évoqué par le président, c’est la vie des chrétiens à bâtir pour les faire sortir du dénuement afin que la gloire de Dieu soit manifestée. Il a fini ses propos en exprimant sa reconnaissance à Dieu pour son accompagnement, mais également tous ceux qui ont cru en l’appel de Dieu dans sa vie, et qui l’ont suivi dans le ministère. Face à cette manifestation de la gloire de Dieu, des fidèles n’ont pas caché leurs impressions : « Mon âme, bénis l’éternel et n’oublie aucun de ses bienfaits », s’est exclamée Pulchérie Natabou. Pour Barthélémy Godonou, c’est un sentiment de satisfaction. Invité au culte, l’ami du président fondateur, Laurent Gnancadja lui se fait très admiratif des résultats obtenus au bout des 20 années d’existence de la communauté.
Thomas AZANMASSO
